« Si l’on regroupe les élèves dans les classes de niveau (classe forte, classe faible), on s’aperçoit que ce sont les élèves forts qui en profitent le plus. Dans les classes hétérogènes (où l’on mélange les enfants de tous niveaux), par contre, les élèves faibles progressent beaucoup mieux, avec un léger détriment pour les élèves les plus forts. »


Charles Hadji : « Les voies de l’évaluation : trente ans de recherches et de débats », in Jean-Claude Ruano-Borbalan (2001) : Eduquer et Former, Sciences Humaines éditions, p. 133

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