Certains jours, je me figure assis à l’ombre d’un baobab à guetter les signes avant-coureurs de l’hivernage. Le vent léger qui soufflette emporte mes pensées par-delà les monts et les vaux. Je me sens vivre par la chaleur du temps conquis pour la pensée. Et au diable le tohu-bohu d’un quotidien réglé dès l’aurore comme du papier à musique!


 

Denis Dambré

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