Vladimir Poutine n'a certainement pas envie que l'Ukraine passe dans le camp occidental, mais ce qui le menace vraiment, c'est que cette révolution soit imitée à Moscou. S'il en est aujourd'hui à violer la souveraineté de l'Ukraine, c'est par réflexe d'autodéfense.

David Satter, analyste politique américain, dans une interview paru dans Libération, n° 10205 du vendredi 7 mars 2014

Retour à l'accueil